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découverte dans sa chambre

Par Profil supprimé

18 réponses


Profil supprimé - 09/10/2011 à 10h07

bnonjour je comprends vos interrogations car on a toujours peur de perturber nos enfants,car mème parmi les enseignan ts certaints emetrons des jugements inappropriés .c est comme ça dans la vie aussi on entendra plus de critiques que de mots d encouragements et il faut que nous et les jeunes soyons prets a affronter ce monde et c est pas toujours facile.
je penses qu'il faut qu ils apprennent a assumer les conséquences de leurs actes.
ne perdez pas courage vous avez avec son pere entamé le dialogue c est impor tant et meme si c est difficile avec des hauts et des bas battez vous
je vous embrasse
anne du 52
si vous voulez entrer en contact avec moi voicimon adresse m s n
jeanetannedu52 @.fr

Profil supprimé - 13/10/2011 à 12h21

Bonjour,
Merci encore pour vos précieux conseils. J'ai acheté le livre de Dolto et je me répète vos phrases pour essayer d'agir au mieux. Quoi qu'hier soir j'avoue avoir eu du mal à dialoguer avec lui sans m'ennerver.... sur une entreprise à trouver pour son stage qui arrive à grand pas et auquel je ne ressents aucune investigation de sa part. Il ne sait pas ?

Aujourd'hui j'ai une nouvelle question.
Sa soeur me confie qu'elle pense connaître les personnes qui lui vendent cette cochonnerie (des voisins qui sont frères) Alors, je voudrais les dénoncer mais c'est un bruit qui court dans le quartier et elle y croit. Sauf que je ne voudrais pas déclencher une histoire pour eux si ce n'est pas vrai et pour mon fils s'il l'apprend.

Auriez-vous des conseils à ces propos ?

bluenaranja - 13/10/2011 à 15h38

Bonjour,

Mon fils doit faire un stage de trois jours ds une entreprise - il est en quatrième.
Il aime deux choses : le multimedia et les livres. Donc son premier choix serait d'aller dans la boutique d'informatique qui répare nos pc.

Je lui ai bien dit que ce stage n'engageait pas son avenir, que c'est juste "pour voir".
Pour des enfants qui ont peur de grandir, ça peut être flippant. Ou qui n'ont vraiment aucune idée.
Et plus le stage est important, plus c'est flippant... Moi, j'ai eu mon bac à 16 ans, j'avais la maturité psy d'une gamine, aucune idée de ce que je voulais faire...

Peut être pourriez vous lister toutes les possibilités qui existent autour de vous, et lui proposer de choisir, en éliminant ce qu'il n'aime pas. Car s'il ne sait pas encore ce qu'il aime, il sait sûrement ce qu'il n'aime pas.

Dans ce qui reste, sélectionnez en trois ou quatre et accompagnez le en voiture, mais laissez le seul se débrouiller, s'il est d'accord. Qu'il choisisse en fonction de la personne plus que de l'activité.
Si c'est possible bien sûr..
Une rencontre humaine peut être plus importante que le travail en lui-même.


L'autre fois, je vous ai dit d'intervenir seulement si votre enfant souffrait, de ne pas projeter.
Je l'ai appris à mes dépends.

Un jour le collège m'appelle pour me dire que des élèves ont traité mon fils de "pauvre" et qu'ils souhaitaient me voir.
J'ai du expliquer que certes, je suis mère célibataire et au rsa, mais que mon fils voit régulièrement son père qu'il adore - je lui ai toujours dit que son père faisait au maximum de ses possibilités, ce qui est peu en sous et en visites, mais énorme au niveau symbolique.
En plus, ma famille l'a conduit à Paris, en Suisse, au bord de la mer. Je parle plusieurs langues, j'écoute arte ou france culture toute la journée, du coup, il baigne dedans.
Et j'ai du me justifier !!!

J'ai toujours dit à mon fils qu'être pauvre en France c'est être riche dans l'autre moitié du monde : on a l'eau courante, le chauffage, un minima social, si on vivait en Inde, les gens me jetteraient des cailloux et lui ramasserait les ordures ou ferait des briques. Je suis trop ouverte sur le monde pour ne pas avoir conscience de cela.

J'ai du justifier mes choix, et cela m'a ramené à mes parents, qui étaient riches, mais maltraitants. Eux n'ont jamais été convoqués...

Donc je sors de là assez déboussolée, et j'en parle à mon fils en lui disant :"voilà, le collège m'a dit que certains te traitaient de pauvre, pourquoi tu ne me l'a pas dit, tu avais peur de me blesser ?
Je peux demander à ma copine - qui venait de s'acheter une belle grosse voiture neuve - d'aller te chercher au collège si tu veux"

Il a ouvert de grands yeux et m'a dit :" Mais Maman je t'en ai pas parlé parce que c'est pas grave, ça me passe trois km au dessus de la tête. C'est des c... s'ils me traitaient pas de pauvre, ils me traiteraient d'autre chose. C'est juste que j'ai pas d'habits de marque, et moi, je m'en fiche des marques, c'est pas ça qui compte. Mais eux c'est des gamins dans leurs têtes, et ils l'ont pas compris.
Toutes façons, on est toujours le pauvre d'un autre !
Et demander à G..... de venir me chercher en voiture, ce serait leur montrer que j'écoute ce qu'ils me disent. Ce serait leur donner raison. Donc non merci."

Je m'étais fait plein de films - pourquoi comment blablabla, alors que lui gérait ça de façon très saine et prosaîque, avec une bonne dose de confiance en lui.

Son discours tenait tellement la route, que je l'ai laissé faire, à sa manière.
Et le côté gratifiant, c'est que, bien que je manque cruellement de confiance en moi, j'ai réussi à lui en donner !

Ensuite, je dirai que c'est bien de lire, d'apprendre de l'expérience des autres, mais il faut aussi se faire confiance et adapter en fonction de sa propre expérience.
Quand j'étais enceinte, j'avais tellement peur de replonger ou d'être une mère maltraitante, j'ai lu ou relu tous les bouquins de psy et sur l'enfance de la bibli, et quand mon fils est né, j'ai fermé les livres et j'ai plongé dans la vie.
J'ai juste gardé un de ces livres sur comment élever son bébé, avec les maladies, les acquisitions etc... Mais ce que j'avais lu et appris avait fait son chemin en moi, et ressortait naturellement dans mes actes et mes paroles.

J'ai toujours aimé Dolto et son humanité, son espoir en la vie et les hommes.
Quand j'étais enceinte, en hôpital psy - je voulais absolument avoir un suivi pour montrer que j'assurais, je ne voulais pas qu'on mette un éducateur à mon fils pour MES conneries - j'ai eu la chance qu'une infirmière de l'équipe ait travaillé avec Dolto.
Contrairement aux autres qui voulaient que j'accouche sous x, elle s'est tout de suite rangé de mon côté, qui était celui du bébé.
Elle m'a proposé un truc qui m'a paru saugrenu : c'est la possibilité de me baigner dans une petite piscine, destinée à la ré éducation. J'ai toujours aimé l'eau et je savais qu'elle voulait m'aider, j'ai donc accepté.
Elle venait dans le bassin avec moi et m'enseignait les bases de la sophrologie. Que ces moments furent précieux.
Dans l'eau, j'étais bien, coupée de tout ce qui n'était pas moi et mon enfant. Je me recentrais sur moi et sur lui pour prendre des forces. Je n'étais plus une droguée, mais une maman.

Pour ce qui est des dealers, je ne sais vraiment pas quoi vous dire...
D'un côté, l'ancienne loi de la rue me dit : balancer, c'est interdit, de l'autre, en tant que maman, je comprends parfaitement vos interrogations.

J'aurais tendance à me dire que des dealers, y'en a partout, on en enlève un il en repousse trois, donc en toutes logique, mieux vaut renforcer votre fils que faire la chasse aux dealers. Même si c'est pas juste...

Ensuite, je me méfie des rumeurs, je mène une vie quasi-monacale, et pourtant, étant mère célibataire et désargentée, je suis le "cas social du quartier". Les gens me jugent en fonction de ma position sociale et du Dieu Argent.
Et quand j'ai tenté de soigner mon hépathite C - une infirmière venait me faire des piqûres régulièrement - la vieille mamie en bas de chez moi ( elle a une tête de mamie nova, mais est d'une méchanceté bête à crever) a été raconter partout que j'avais le sida. Du coup, j'ai arrêté de lui offrir des fleurs et de lui faire ses courses.
Je n'ose imaginer ce qu'elle raconte aujourd'hui !!

Et puis surtout, ce n'est pas dit que la police va faire quelque chose...

Depuis un an, un exhibitionniste se balade autour de chez nous, avec une préférence marquée pour les fillettes de douze ans. Notre seul espoir, c'est de relever son numéro d'immatriculation pour que la police se décide à intervenir.
Il y a eu au moins dix plaintes de déposées, dans différents commissariats, et bien, elles n'étaient même pas regroupées... Il a fallu que les parents râlent pour qu'elles le soient.
Tant qu'il n'y a pas "d'agression physique" - je touche du bois - ben, c'est loin d'être une priorité.

Notre seul moyen de lutter, c'est de faire circuler l'info un maximum. Parce que s'il y a eu dix plaintes déposées, c'est qu'il y a eu le double ou le triple de faits, entre les enfants qui n'osent rien dire, ou trainaient quand ils auraient du être à la maison, les parents qui ne disent rien parce que "c'est la honte"....

Je comprends que vous essayez de faire au mieux pour aider votre fils. Mais j'aurais tendance à dire qu'il vaut mieux garder votre énergie pour aider votre fils, plutôt que de vous jeter dans un combat sans fin.

Surtout que les vrais dealers, ceux qui ne fument pas et vendent, qui profitent du malheur des autres, sont souvent bien intégrés dans la bourgeoisie locale.

Avez vous eu le temps d'aller voir le pédo psy ? Avez vous pu parler avec l'association ? Votre fils est il partant pour un suivi ?

Surtout, dites lui bien, et montrez lui par des actes, que vous préférez qu'il vous dise la vérité. Que c'est la seule façon de progresser.
Même sur les petites choses. Quand il vous dit de lui même qu'il a été puni au lycée, grondez le moins que si vous l'apprenez par x ou y.
Dites lui que quoiqu'il arrive, vous pourrez l'aider, cacher les problèmes, c'est les laisser pourrir. Et donc plus compliqué de les résoudre.

N'hésitez pas à écrire, si cela vous fait du bien, je reste dans le coin !

Bonne journée
bluenaranja

bluenaranja - 15/10/2011 à 16h49

Re !

Je voulais vous dire, aussi, votre fille veut aider son frère, indiquez lui les moyens de le faire, sans se mettre en danger en voulant faire "plonger" des dealers. Expliquez lui que des dealers, il y en a plein, mais que de frère, elle n'en a qu'un et que c'est pour cela que vous préferez vous focaliser sur lui.

Et l'aider, cela peut être l'écouter sans le juger, partager des loisirs avec lui, lui faire découvrir tout ce qui peut le "tirer" du bon côté.

Je me doute bien que ce n'est pas facile, quelque soit votre choix, je le respecte, vous faites au mieux.

bonne journée
bluenaranja

Profil supprimé - 17/10/2011 à 11h07

Week-end bof, bof....

Samedi soir, nous étions invités à manger chez sa grande soeur avec la marraine de mon fils, sa fille et d'autres jeunes. Mais mon fils avait l'intention de sortir pour rejoindre des copains dont un qu'il n'avait pas vu depuis longtemps. Donc nous n'en parlions plus histoire de lui faire oublier... avec l'idée que toute cette bande de jeunes lui feraient oublier cette sortie. Aussi, ils (la bande de jeunes tous majeurs) lui ont discrètement versé 2 apéros. Je sais que ce n'est pas bien mais j'ai fermé les yeux. Ensuite, il est revenu pour nous demander de sortir alors je lui ai expliqué que comme il était bien là avec tout le monde et comme comme il était trop tard et qu'il avait bu, il restait avec nous. Il parlait et avait l'air de s'amuser.

Mais un moment, mon fils a peut-être cru que je le suivais et il m'a crié dessus en me disant mais qu'est ce qu'elle m'ennerve celle là !!!! je suis restée sans voix et j'ai eu très mal mais je n'ai rien fait ressentir et j'ai tout gardé pour moi.

Puis au moment de partir, vers 1h00 du matin, mon mari a été cherché mon fils qui s'était allongé dans la chambre de sa soeur et je ne sais pas ce qu'il y a eu mais son père s'est mis à crier. Sa marraine m'a dit vas voir, mais j'ai préféré les laisser régler leurs histoires. Déjà j'avais peur d'aggraver et je trouve qu'ils ne se parlent pas beaucoup et si c'est pour compliquer, je suis restée en retrait. Ils sont descendus à la voiture. Il faut qu'ils arrivent à s'expliquer même s'il faut en passer par là. Mais en arrivant à la voiture, je ne vois pas mon fils. Je veux lui téléphoner et son père me répond lui avoir pris son portable. Quelle histoire.... Mon fils disparu en pleine nuit sans moyen de le contacter. J'ai donc allerté le groupe de personnes avec qui nous nous trouvions et qui nous ont rejoints. J'ai téléphoné à la dernière personne que mon fils avait sur son téléphone. Mais il était introuvable. Alors on m'a conseillé de rentrer chez moi et qu'on se rappelait après. OUF mon fils était dans son lit mais ne m'a pas dit un mot.

Le lendemain, dimanche, mon fils est resté dans sa chambre toute la journée. Pffffff ce n'est pas simple. Mon mari me dit "j'ai peur qu'il soit trop tard" et moi je ne supporte pas d'entendre des phrases négatives sur ma fratrie. J'ai envie aussi de le faire réagir. Son père ne lui a pas adressé la parole de la journée et même pas un bonne nuit. Quelle ambiance coincée....
Du coup, ma petite dernière (bientôt 15 ans) est restée dormir chez sa grande soeur et a passé la journée d'hier avec elle.
Ce qui me dérange dans cette histoire c'est que mon mari a une patience démesurée avec les autres qui parfois me dépasse et après analyse, je trouve qu'il est doué. Mais là c'est différent. Je l'ai souvent trouvé plus dur avec son fils par rapport à ses filles. C'est d'ailleurs un sujet de conflits. Enfin, j'ai l'impression de ne pas aboutir. De plus, il fait un transfert sur son vécu ce que je peux comprendre. Parfois, j'ai l'impression que je déboussole.
Auriez-vous des conseils à me soumettre ?

bluenaranja - 20/10/2011 à 19h39

Bonsoir,

Est ce que vous savez les quantités que votre fils a consommé - rien d'autre que du cannabis ? Et quel âge a-t-il ?

Alors c'est bien de ne pas vous énerver, mais cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas réagir.
Vous pouvez dire à votre fils que vous le respectez et que vous attendez la même chose de sa part. C'est bien le minimum.

J'ai l'impression que vous et votre mari avez tous les deux raisons : il semblerait que votre fils cherche les limites, et votre mari essaie de les poser. Ce qui est bien.
Plus vite les limites sont posées, plus vite on passe à des choses fun.
Et vous vous essayez de comprendre et de ne pas crier - je ne pense pas que "l'ignorer" soit la solution non plus.

Je pense que vous et votre mari devriez vous poser et envisager les conneries et les punitions adaptées, vous mettre d'accord en amont.
Comme ça, quand votre fils "vous cherche", vous et votre mari donnerez la réponse approprié. Et vous serez tous les deux d'accord.
La moindre faille et votre fils se glissera dedans.

Il a disparu en "pourrissant la fête", ce n'est pas normal, vous lui avez dit au moins ?
Il apprécierait que vous débarquiez chez ses potes lui pourrir ses fêtes, en lui criant dessus ?

Et quand votre mari dit j'ai peur qu'il soit trop tard, vous êtes tellement angoissée, cela fait écho à vos craintes et vous n'entendez que le trop tard.
Mais en général, quand on dit j'ai peur que, on exprime une crainte, pas un jugement, une envie d'être rassuré.

Vous le vivez comme une critique alors qu'il me semble qu'il exprimait ses angoisses - ce qui n'est pas mal !
Parlez vous tous les deux, faites le point sur ce que vous attendez de votre fils, les points importants, et les reactions-punitions-réprimandes à apporter.
Ne le laissez pas prendre le pouvoir sur vous.

Bon courage
bluenaranja

bluenaranja - 15/11/2011 à 15h51

Bonjour,

Je viens aux nouvelles, si vous avez envie d'en donner. J'espère, en tout cas, que vous vivez mieux cette situation et que cela s'est arrangé.

Bonne journée
bluenaranja

Profil supprimé - 11/01/2012 à 14h47

Bonjour,
Je me rapproche de vous car ce matin, mon fils a été interpellé sur la route et ils sont venus perquisitionner dans sa chambre. Bon c'est normal, sans l'être car je pensais qu'il allait de mieux en mieux.
Ils l'ont arrêté entrain de fumer cette cochonnerie, donc ils l'ont fouillé et ont découvert des barrettes dans son slip !!! Mais quelle honte !!!!
C'est sa petite soeur qui était chez moi qui m'a téléphoné pour me prévenir. Donc, même si je ne n'accepte pas ce que fait mon fils, comment se faire aider sur les droits à respecter ? Un policier m'a dit qu'il possédait environ 40 grammes de cannabis. Puis sa chambre a été complètement retournée sans ma présence ? Ils ont pris son téléphone, son ordinateur, 2 pistolets en plastique en jouets et des petites pochettes en plastique qui serviraient au partage de la drogue pour la distribution. Pourriez-vous me communiquer une personne susceptible de savoir si tout cela est légal ? Car si ma fille de 15 ans ne m'avait pas prévenu, ils m'ont répondu qu'ils m'auraient téléphoné après ?
Je suis dépassée, pourriez-vous m'aider SVP ?

bluenaranja - 30/03/2012 à 13h45

Bonjour,

Je suis désolée de vous répondre si tard, alors que vous aviez besoin d'aide - enfin, au moins j'aurais pu vous écouter et vous répondre de mon mieux : je n'avais pas vu votre message, reposté entre deux autres.
Ce n'est qu'aujourd'hui, en repassant dans les pages plus anciennes, que je viens de le lire.
C'est clair que de faire une perquisition en votre absence, alors qu'il n'y a qu'une mineure à la maison, me semble hors cadre légal.
J'espère que vous avez trouvé un bon avocat, qui a pu vous aider. Et que parallèlement à cela, votre fils a pris conscience que dealer du shit n'était pas une solution...
J'imagine le choc, alors que vous pensiez que tout allait mieux, de voir que votre fils continuait à dealer dans votre dos. Et aussi de voir les manières limites de la police dans cette situation...
Attention, je ne suis pas anti-flics du tout, c'est comme partout, il y en a de très bien et d'autres moins, hélas.

Si vous avez envie de parler - j'avoue que j'aimerais bien avoir de vos nouvelles, si vous le souhaitez, je suis toujours dans le coin. Mais repostez un nouveau sujet, en gardant le même pseudo, c'est plus facile pour moi, que de devoir repasser en diagonale tous les messages passés.

Courage.

bluenaranja

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