Bsr.
J ai une amie que j adore, ancienne tox qui a repris récemment. Je la refrequente depuis peu. Je l ai connu seraine et là m à raconter son passer. Clean depuis 4mois, mais samedi elle a repris coc+héro(rencontre ex deal), du coup pour lui faire voir qu elle part dans un mauvais tripe ,je me suis mis à prendre en fume la coc. Mais elle m à interdit la cam(cailloux maron). La se soir en vice reparti chez un deal,donc me SS incrusté 1h après elle. Vlam cailloux maron,donc g tout fait pour essayer et ducoup elle est partie en vrille,"c est de la merde,t as pas à en prendre.."
De plus qu elle a bien bu,g eu peur pour elle. Je m inquiète pour elle,car elle est celle que jM. Quoi faire
Car je vois sa lucidité,elle ne veut pas que je fasse comme elle car grand respect pour moi,je lui ai mm offert 1bracelet qu elle n à cesser de tripoter (valeur sentimentale). Je le vois qu elle veut s en sortir. Mais dès vieux démon en elle arriver dès petite. Dois je en faire part à sa famille de ses aveux ? Faire reconnaître certaines fautes de leur part? Car peur de la perdre. Après je n ai rien pris se soir, mais j ai voulu la pousser à me donner l autorisation. Elle m à jeter la paille et changer de pièce, mais à son retour (30sec après) elle avait un regard Blaser, je lui confirmer que g pris aucune trace,CT juste pour la tester.
Donc pour moi ,elle a l envi de s en sortir,elle ne cherche pas que ses AMIS plonge la dedans.
J aimerais trouver les mots,les gestes pour lui faire remonter la pente
Mise en ligne le 29/03/2018
Bonjour,
Votre amie consomme de nouveau et vous aimeriez lui faire comprendre que vous la soutenez si elle décide d’arrêter.
Votre soutien en tant qu’ami sera en effet d’une grande aide pour elle si elle décide de se sevrer. En revanche, le dire à sa famille sans avoir son accord préalable n’est pas forcément une bonne décision. En effet, c’est sa consommation et si jusqu’ici elle n’en a pas parlé, c’est qu’elle doit avoir ses raisons. Discuter avec l’entourage peut être bénéfique seulement si ce sont des personnes de confiance qui pourront la soutenir également, et si elle en est d’accord.
Elle semble avoir conscience de sa dépendance, tout en étant très en difficulté. Peut-être aurait-elle besoin d’un soutien de professionnels. Si elle ne connaît pas, il existe des Centres de Soins, d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie (CSAPA) qui proposent des entretiens gratuits, spécifiques avec des addictologues et des psychologues dans un cadre bienveillant et non jugeant. Cela pourrait l’aider, dans un premier temps, à faire un bilan de sa consommation actuelle. Puis elle pourrait chercher à comprendre les raisons qui la poussent à consommer à nouveau grâce à cet espace de paroles bienveillant et non jugeant. L'accompagnement thérapeutique se fait de manière très personnalisée en s'ajustant aux demandes de la personne. Nous vous laissons des liens en fin de message.
Ces centres accueillent aussi l’entourage si vous souhaitez vous-même vous y rendre afin d’avoir des conseils et du soutien, sur la manière d’aborder le sujet avec votre amie. Les consultations sont gratuites et confidentielles. N'hésitez pas à les contacter pour un premier rendez-vous.
Il faudra peut-être du temps à votre amie pour prendre une décision sur des soins éventuels. Vous pouvez également lui fournir notre numéro si elle a besoin d'échanger sur les difficultés qu'elle traverse actuellement ou si elle souhaite une orientation dans une autre ville. Nous sommes disponibles de 8h à 2h du matin au 0 800 23 13 13, ou par chat de 14h à minuit.
Cordialement.