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AlMahdi - 29/10/2024 15:38:12

Alors, ne culpabilise pas, on a tous nos limites, et parfois même on les pousse un peu.Pour l'addiction de mon homme, j'ai suivi toutes les recommandations d'addictologues, étudier un peu l'addicto" sous plusieurs facettes pour comprendre, et je me sers aussi de mes tentatives d'arrêter la cigarette, ce qui me met dans une situation analogue, donc de comprendre que c'est facile à dire, mais le faire c'est pas pareil. je vois que ce qui fonctionne en tant que sortie du déni ne marche pas chez une autre personne; A l'heure qu'il est je me prépare à être obligée de renoncer à lui, parce qu'il s'apprête à reproduire encore et toujours la même erreur qu'il fait depuis 20 ans, ça peut sembler ironique, mais en ne prenant rien, et en étudiant le sujet, je comprends mieux son problème que lui qui en souffre. Mais si ça comprommet sévèrement ma survie, ayant des problèmes d'autonomie rapport à un handicap, j'en souffrirai, mais je serais obligée de renoncer à lui, ça fait des jours que je n'en dors plus, mais je ne culpabilise absolument pas, s'il persiste et se replante, je sais que de mon coté j'ai abordé le problème de la bonne façon. Je faisait semblant de ne rien voir tant que je ne savais pas assez de choses sur la question, en me disant "si je le brusque, ça le poussera à plus ".Ma limite, c'est ma survie. Je lui avais déjà mis une limite ou je ne l'aide plus pour ses factures, et je lui ai dit pourquoi. Dans son cas, c'est parce que son dealer cherche à squatter chez lui.

AlMahdi mardi 29 octobre 2024 15:38:12