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J'aimerai vous remercier d'avoir pris de votre temps pour me répondre aussi longuement. Pour bien comprendre la situation je vais essayer de répondre à vos questions et sujections.
Depuis des années je me bats avec lui pour qu'il sorte de cet enfer, mon fils prends des substances médicamenteuses pour se sortir de la dépression (antidépresseurs) ce qui ne l'empêche pas d'avoir des angoisses. Quand il n'arrive plus à les surmontés il se drogue pour oublier ses angoisses et l'orsque qu'il arrête de se droguer, sa culpabilité est tellement forte qu'il n'arrive pas à la supporter. Il est toujours très mal. Pourtant il essaye de s'en sortir. Il se rends régulièrement dans un centre de soins, est suivi par un psy et un médecin. Son principal prôblème est qu'il vit seul et ne le supporte pas. Il ne travaille pas et passe ses journées à ressasser. Ii se pique partout le corps (speed, amphétamines). Il est conscient des dangers qu'il encours, nous en parlons souvent ce qui lui permet d'espacer ses prises.Il passe à côté de l'essentiel. Il me dit qu'il n'a jamais connu autre chose que de se droguer soit avec les médicaments et les autres produits dangereux.
Pour répondre à vos questions , en 1982 quand il à été opéré pour cette tumeur maligne,il n'y avait pas d'autre choix que de lui ouvrir la boite craniènne. Les Médecins m'ont laisser entendre que, d'être trépanner laissait des séquelles. Les cellules psychologiques pour les malades et les Parents n'existaient pas. Oui il a été soigner avec des produits psychotropes, oui il a dévellopé une dépendance à ces produits. En pleine adolescence, il a subi de la part de ses professeurs des repproches de toutes sortes, de ses petis copains aussi (le surnomant le boiteux)par exemple. Petit à petit il n'a pas supporté toutes ces brimades. A 16 ans il a quité le collège, mal orienté vers un CAP de cuisinier, (il n'a jamais exercé à cause de son handicap). Il a fait des petits boulots, une formation d'auxillaire de vie,(il a travaillé 10 ans dans ce métier) et puis fatigué, il a repris des petits boulots. Parallellement à cette période il a commencé à se droguer. Moi je n'ai rien vue venir au début. En tout cas pas toute suite hélàs. Les années ont passeés, il a rencontré la Mère de ses deux filles, elle n'a pas supporté de le voir se détruire, elle est partie avec les filles. Là, la dégringolade a commencé vraiement.Depuis il ne travaille plus, son Père (qui n'est plus mon Mari)la laissé tomber, sa Soeur a pris du recul et protège sa famille,ce que je consois sans problème. Je suis donc seule a essayé de le sortir de cet enfer. Mon Mari (actuel)ne le repousse pas mais ne comprends pas pourquoi je souffre autant que mon fils.
A votre question " est il bien suivi?" non pas suffisament. Il semble convaincu qu'une cure dans un centre CSST serait approprié pour lui venir en aide. Il a fait des demarches en ce sens en deux endroits. Mais la peur de ne pas y arriver, l'angoisse aussi est difficile à surmonter. Pour moi c'est dur de le convaincre d'essayer. Voilà notre histoire. Merci de vos conseils
Profil supprimé lundi 20 juin 2011 17:26:38