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Coeur2025 - 14/12/2025 09:04:36

Bonjour,
en octobre 2022, une personne qui s'est fait arrêter par les gendarmes a pris 4 mois de suspension pour prise de stupéfiants.
Elle avait uniquement à fournir une analyse d'urine, elle n’avait pas de prise de sang à fournir car ce n’etait pas pour l'alcool, pas de test psychologique car la suspension n’etait que de 4 mois. Sur les convocations c'est bien précisé que comme c'est pour les stupéfiants, il n’y a qu'une analyse d'urine à fournir.
En janvier 2023, la personne a fait sa 1ère visite médicale (analyse d'urine négative), la personne voit 2 médecins agréés de la préfecture repart avc son cerfa avis favorable pour 1 an.
La personne y retourne en décembre 2023 et voit toujours 2 médecins différents (analyse d'urine négatives), répart avec son cerfa favorable pour 2 ans).
En décembre 2025, elle y retourne une 3 ème fois, elle voit à nouveau 2 médecins différents (ce n’est jamais les mêmes à chaque visite), et là un médecin lui demande si elle bu de l'alcool avant de venir (RDV à 10h55), la personne répond NON, le médecin doute et fait souffler la personne, test negatif). Malgré tout, le médecin valide le cerfa uniquement pour 6 mois et exige une prise de sang.

Or, la suspension de 4 mois d'octobre 2022 n'était que de 4 mois et que pour les stupéfiants. Lors des 2 autres visites médicales , les médecins n'ont jamais demandé de prise de sang.

Est ce que c'est légal d'avoir fait souffler la personne ?
Est ce que c'est normal qu'après une 3 ème visite médicale, la personne ne récupère pas un permis définitif alors que les analyses d'urine sont bien négatives.

Je vous remercie.

Coeur2025 dimanche 14 décembre 2025 09:04:36