Par chat
Chattez avec
Drogues Info Service
Vos questions / nos réponses
Drogues Info Service répond à vos questions
Vos questions / nos réponsesChattez avec
Drogues Info Service
Drogues Info Service répond à vos questions
Vos questions / nos réponses
Salut, Je reviens après 21 jours d’arrêt pour remettre en ordre mon écrit précédent.
Au début jusqu’à la fin de la deuxième semaine : crise d’anxiété, nausées et pertes d’appétit (accompagnés d’une chaleur excecrable).
S’en est suivi de palpitations et de chortisol dans le sang élevé (consultation médicale et analyses sang et urine).
J’ai essayé du cardiocalm pour canaliser le stress et les palpitations mais le médecin m’a prescrit du stresam car le précédent était trop léger.
Or hier matin j’ai pris stresam et pentoprazol (j’avais un traitement de 6 mois depuis février) et cela m’a crée des brûlures d’estomac chaque fois que j’en ai pris , soit 3 fois par jours.
Hier j’étais pas bien , j’ai réussi à bien dormir et à faire des rêves de belles choses (retrouver mon ex et d’autres choses qui font rêver) mais vers 4h je me suis réveillé avec des sensations de mal-être dans le corps…
Un sentiment de déjà vu car il me semble avoir déjà ressenti ça auparavant mais jusqu’à me rappeler de quand précisément je ne saurai dire.
Tout ce que je peux dire c’est que j’ai arête 3 fois dans ma vie car j’étais quelqu’un d’assez stressé et qui très jeune a compris que les crises d’angoisses étaient provoqué par des peurs de la finitude.
Après plusieurs arrêts :
-une convocation suite à des bêtises minimes juste avant un départ en vacances.
-un retrait de permis au moment des examens du bac
-et deux trois fois car je ressentais le besoin de palier à une pression sociale ou professionnelle.
Dans tout ces moments, pleins de choses ont eu lieu, bonnes comme mauvaises mais ma conscience a toujours été portée vers la créativité.
J’ai des moments quand je fumais ou je faisais de l’agoraphobie et des moments de stress intense sur des situations qui n’étaient pas censé l’être.
De plus, je suis de nature très solitaire, je peux prendre la voiture pour boire un jus de fruit en terrasse quand l’envie me prends , comme aller au lac ou aller à des concerts en plein air.
Je suis auto entrepreneur dans le son et la vidéo et aujourd’hui je bloque car étant donné que je suis bon dans ce que je fais je suis beaucoup sollicité (deux messages de clients un à minuit et un à 2h du matin, que je viens de voir lors de mon réveil brutal et qui a aussi été un petit facteur de stress supplémentaire).
Quand je suis pas bien ou un peu surmené (ou ou même bien mais que j’ai besoin de tranquillité) j’ai tendance à ne pas répondre quitte à reporter - ou non. Mais le tempérament des gens fait que plus j’attends et plus ils insistent.
Le voilà mon problème je suis devenu très irritable avec le temps et l’impression que meme ceux qui me portent dans mon cœur n’est plus une source de plaisir car ma famille est de nature speed et stressante moi de mon côté j’ai je ressens trop les émotions.
J’étais en collocation avec des fumeurs à Lyon , une ville qui n’était pas reposante et des fois quand je fumais je me rendais compte que des craintes se transformait en phobie ( dont l’agoraphobie qui faisait que je me mettais dans le garage pour être tranquille (avec la musique ou une série et la fraîcheur du garage) . Mais cette situation était en partie liée à la peur de faire un bad ( j’en eu fait pas mal mais je pense que c’est tout simplement le reflet d’un mal-être exacerbé).
Je pense être sensible aux choses de la vie mais on nous montre vraiment beaucoup trop de négatif, d’obligation de penser, de prendre des positions qui ne nous conviennent pas alors qu’à l’inverse les réponses à mes énigmes intérieures peinent à être élucidées, avec un sentiment de n’être écouté que dans les grandes lignes.
J’ai besoin de vider mon sac, j’ai toujours eu très peur des maladies étant donné que j’ai eu plusieurs accidents / traumatismes dans ma vie , mais je m’en était pas autant soucié jusqu’à maintenant.
Bien sûr tout n’était pas que noir ou gris mais je pense que cet état de lassitude et de dépit quasi omniprésent provoque des troubles addictifs qui détournent le mal d’une manière autodestructrice.
Je passe donc dans des périodes d’addictions qui durent entre 4 et 6 mois en général et puis j’arrête parce que je me sens à la fois au fond du trou et à la fois je me fais mal.
Détruire pour reconstruire sont mes premiers mots qui me viennent à l’idée , mais vouloir contrôler ses émotions , son corps et son esprit devient vite un fardeau dans cette situation.
Je ne ressens pas le besoin de fumer, mais de discuter et de ne pas m’enfermer dans une prison mentale.
En remerciant solennellement les personnes qui offrent un soutien considérable sur ce site.
Cordialement
Loïc
Loydi vendredi 02 août 2024 05:43:29