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Bonjour Graciehart. Ce que vous viver comme symptôme me semble très normal. Ce sont les symptômes habituels du sevrage égu, cet-à-dire des premières semaines. Normalement, après un mois, celà se calmera OU, vous entrerez peut-être dans la phase de ce que j'experimente encore après 5 mois sans conso, nommé, syndrome de sevrage post-égu.
J'en ais mis du temps à trouver ce qui m'arrivait en juillet dernier pour expliquer tout mon mal-être qui heureusement s'estompe de mois en mois entrecoupé de haut et de bas. Moral et humeur fluctuant.
C'est passager. Ça dure une année ou plus selon le degré de l'addition. Je n'ai que consommé que durant une année, maximum 3 joints (THC +20% (C'est très élevé)) (AU Québec, c'est légal et taux indiqué sur empaquetage) par jour surtout les 6 derniers mois. Avant, durant les 6 premiers mois, c'était 1 à max 1 1/2 par jour. Assez pour que maintenant j'ai ce foutue syndrome encore ignoré de beaucoup. Jusqu' ici, j'ai refusé tout traitement (Antidépresseurs, Benzodiazépines.) L'anxiété est passé après 3 mois. Le plus dure a été les premiers 3 mois. Humeur en yoyo, cerveau dans la brume, dysphorie, anhedonie qui encore persiste. C'est facile à expliquer. Durent toutes consommations régulières qui stimulent la production de neurotransmetteurs que sont les hormones qui vont être nommé mes, le cerveau s'adapte à être inondé de taux anormaux, X100? de dopamine, sérotonine, etc... ce qui crée le HIGH, et pour ce protéger, le cerveau se désensibilise, se réorganise, n'ayant plus besoin de produire lui-même ces chimiques. Quand on cesse la cigarette, le cannabis, l'alcool, et tout autres psychotrope, un déséquilibre se produit car notre cerveau modifié, n'est pas encore. revenue à sont état initial pour être en mesure de fonctionner efficacement de nouveau donc, des drôle symptômes pas très drôle au fond, surgissent durent le temps qui lui est nécessaire pour qu'il puisse revenir à son réglage d'usine. Certains l'appelle le syndrome d'après sevrage. En anglais, c'est le PAWS pour le; POST-ACCUTE WHITHDRAWAL SYNDROME. On est pas fou. Si après le sevrage régulier vous éprouviez encore du mal-être, celà pourrait très certainement s'agir de ce syndrome et non d'un problème de santé mental que les substances auraient put inhiber ou masquer sans pour autant totalement les exclurent. En tout les cas Graciehart, faut s'armer de patience et de persévérance. C'est dure d'aller à contre-courant. Faut accepter cet état qui est temporaire. J'espère qu'après le premier mois, que tout rentrera dans l'ordre pour vous. Sinon, au moins vous saurez que vous n'êtes pas seule à continuer de surfer sur une mer agitée et nullement folle à lier. Il sera temps pour vous de lâcher prise et de faire durant cette perriode, des choses simple que vous aimer même si elle vous parrêtront plus ordinaires qu'avant. Certaines choses par contre vous aiderons à passer au travers. L'anhedonie à été et est encore mon plus grand ennemi. J'espère vous avoir bien éclairé. Je sais que vous souffrez et que ce n'est pas facile mais, faut souffrir pour retrouver une vie avec des idées claire. Pour réussir enfin, faut tenir bon en excluant d'en reprendre. Aussi, parler en à des proches, à un addictologue. Moi, ce site à été à ce jour, d'une aide énorme pour comparer mon expérience et moins me sentir seule.
N-Fr.1534
Ps. Si vous voulez plus d'info sur ce syndrome, j'ai des liens que je peux vous donner. Malheureusement c'est en anglais.
Nouvelle-France1534 mardi 15 novembre 2022 04:35:13