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Après sevrages 23 février 2023. Toujours les démon

Par Antigone

j'ai 36 ans, un diag TDAH, troubles du comportement, auto destruction, troubloe de l'usage

Cannabis : Arrêt total, sevrage non compliqué mais symptômes de sevrage apres6 mois de l'arrêt

Héroïne : Sevré par méthadone sirop 130 mg/j d'une durée de deux et demi. Arrêt metha de moi-même, deux d'hospit.

Hallucinogènes : .commission d'infractions, situations oniriques très dangereuses. descentes désagréables. Arrêt.

Stimulants : Taz à l" époque du collège / lycée. Arrêt. Métha, C, Crack IV.

Alcool : quotidien,

En mélangeant tout ça, en plus de benzo ça ne pouvait que mal terminer. En 2021, mars première OD, première admission en réanimation, intubé ventilé, trois jours.

S'en ai suivi une quasi totalité ce l'année 21 en HP sous contrainte.
Octobre 21, deuxième OD, (IV crack, et héroïne, alcool, méthadone, benzo, speed et produits hallucinogènes.) Intubé, ventilé en réa.

Novembre 21, opportunité de partir à 600 kilomètre du lieu de conso, abandon de toutes fréquentation tox, même amis sains.

A cet endroit, où j'ai pris racine, hospitalisation trios mois en clinique.

Sorti en avril, le 24, deux mois sobre de tout.

Vers mi juillet, mise en place de projet de ré insertion via MDPH. Dans le même temps et de façon pensées croissantes et très envahissantes, "bon faudrait se défoncer un peu" , "l'abstinence c'est bien, mais y a des limites",

Je regarde les rubriques Surdosages de mes médocs, pour certains, je les connais. Dans d'autres des mots me plaisent. Comme un sentier qui mène à l'Etat second.

Somnifères en IV, je me dis "faut pas trop se priver", bon y a quoi d'autre là?"
Un autres, ça aidera à planer, il reste plus que six cachets dans la plaquette, 4 dans la pomme de ma main, je vois les deux restant, "bon c'est bon 6 c'est un bon chiffre" ....


Il y a matière à redresser la barre. Je connais. Pourquoi pas une délivrance hebdomadaire du traitement par IDE (infirmier qui passe a domicile donnes les medocs pour la semaine. C'est moi seul qui décide pour moi, pour ma santé.

Il faut oser avouer mes fragilités et croire en mon potentiel à savoir rebondir. rebondir. rebondir.


Très bonne soirée à tous.



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