bonjour, je vous remercie de votre réponse à ma premiere question.Il apparait evident que de continuer à consommer du paracetamol signifirait à court moyen des risques létaux.Nous sommes samedi, je vois mon médecins traitant mardi. je décide d'arrêter à partir de mardi ma consommation de paracetamol codéiné.en attentant jusqu'à mardi je ne dépassera pas les 4 grammes maximum préconisés par jour. le problèmes n'est pas temps la codeine: vous m'indiquez qu'un arrêt brutal est possible avec seulement quelques jours de souffrance physique mais le paracétamol. des echographiques ont été faites ily un moins sanq que n'apparaissent de problème majeurs au niveau du foie. mais à l'hopital de jour la psychologue et la psychiatre qu'elles avaient constater de grands progrés dans ma psychose(comportement, capacités cognitives)je pense et j'espère que je peux me passer d'un opiacé mais cela n'était pas le cas je vais vous choquer mais je demanderai au médecin du tramadol connaissant les grandes difficultés de sevrage après une utilisation prolongé mais je lui demanderai les risques autres qu'inclurait ce médicament que j'utiliserais si il le faut pour me soulager ma souffrance psychique. j'espère je testerai sans aucun opiacé j'espère tenir mais je ne consommerai plus un médicament qui met ma vie en danger. la psychologue avait été mis au courant de ma consommation de paracetamol codeiné.un étudiant en médecine patient de l'hopital de jour m'avait formellement déconseillé de prendre du tramadol vu la longueur du sevrage(6 mois)je voudrais votre conseil concernant cette problèmatique la continuation de prise d'opiacés ne viendra qu'en ultime recours. est ce que les opiacés peuvent faire ressentir au personnel soignant un état de sédation? j'ai été agréessé verbalement par une infirmière car en cours de thêatre je n'étais assoupi. merci de votre réponse cette infirmiere n'en est à sa premiere faute professionnelle vis à vis de ses patient et plusieurs patients on changé leur programme de soins pour ne plus avoir à la cotoyer mais ça n'est pas notre sujet. pouvez vous donc m'informer sur le tramadol qui ne sera utilisé qu'en dernier recours en cas de souffrance psychique trop difficile à surmonter

Mise en ligne le 29/07/2013

Bonjour,

Nous comprenons que vous ayez des interrogations et comme nous le soulignions dans notre première réponse, le mieux placé, si ce n’est le seul, à répondre à vos inquiétudes serait votre médecin prescripteur ou en tout cas il serait intéréssant d' avoir un avis médical dans le cadre de votre suivi en hôpital de jour par exemple.

Sachez que vous ne nous choquez point si vous demandez du Tramadol à votre médecin. Nous ne vous jugeons pas et ne jugeons d’ailleurs personne dans ses choix. Nous nous limitons à apporter toujours notre éclairage et notre opinion avec le souci constant d’être  neutre et  objectif.

Le tramadol agit sur le même type de récepteur que la morphine. C'est un antalgique préconisé dans le traitement des douleurs intenses ou modérées chez l'adulte. Sa consommation prolongée provoque une dépendance et à ce titre son utilisation doit donc être méticuleuse. Là aussi, nous pensons qu’il faut en parler avec votre médecin.

Bon courage et cordialement.