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Bonsoir,
Ce n'est pas dans votre tête que c'est le bazar.
Je comprends ce que vous vivez. Je l'ai traversé avec mon fils. Lui ce ne serait que le cannabis.
En revanche mon beau-frère en est mort, il avait 35 ans, voici 7 ans. Il a fait une rupture d'anévrisme alors qu'il venait de réintégrer la maison familiale après une rupture sentimentale.
Il a grandi dans une niche familiale très dure : violence conjuguale, père paranoïaque et jaloux. Mère soumise et culpabilisable à souhait. Brave femme.
Ma belle-mère n'a jamais ouvert les yeux, ni le père d'ailleurs. Ils minimisaient sa conso de cannabis malgré les 14 pieds dans son ancien jardin. Ils ont découvert le cocktail de drogues en lisant l'autopsie. Bien entendu, on en parle pas. Pour moi c'est insupportable. Depuis mon beau-père est décédé d'un accident malheureux. Désormais ma belle-mère se met "à vivre" malgré le chagrin.
Mon beau-frère était imbuvable et rejetait le système. Il passait une partie de l'année en Thailande : sexe et défonce.
Dans les derniers temps, il faisait une dépression. Je pense que son corps n'en pouvait plus de lui. Il l'a finalement abandonné dans son dernier délire.
Que du gâchis et du temps perdu. Pourtant c'est si bon d'aimer, de s'attacher et de se mettre à l'épreuve.
La souffrance nous permet de comprendre ou d'avoir un autre point de vue. Mais à quoi sert elle lorsqu'elle s'installe durablement ?
Quel est le le sens de tout cela ?
Prenez soin de vous Miredo12. Ça c'est de votre ressort.
Bien à vous,
Pépite
Pepite mercredi 20 octobre 2021 19:29:49