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Bonjour Missgaelle,
Merci pour cette réponse.
Je suis plus ou moins d’accord au sujet de l’hospitalisation. Cela peut paraître « simple » de se sevrer en hospi mais quid de l’après effectivement.
Je pense que l’hospitalisation désamorce la bombe dans certain cas mais le suivi ambulatoire est plus important car au moins la personne est dans SON quotidien avec tout ce que cela incombe.
Néanmoins, encore faut-il y aller aux rdv et apporter du concret pour travailler en thérapie.
Alors que faire quand le consommateur n’y va pas?!
Le soutien des proches n’est plus lus suffisant à un moment donné car il y a un côté usant.
Je sais de quoi je parle.
Je suis moyennement d’accord avec le fait que la consommation de C laisse une vie sociale acceptable. En effet, à terme la consommation affecte les sphères personnelles/professionnelles de la personne ainsi que sa santé.
Jusqu’à présent, mon mari travaille toujours mais ça commence à devenir compliqué. Ses relations sociales et familiales sont fort dégradées aussi!
Moi, je commence à ne plus avoir les forces de le suivre dans ses dérives, ses comportements, son agressivité, ses nuits blanches.
Il me paraît important de ne pas banaliser non plus toutes les conséquences de la consommation de C.
Après, chaque situation est sans doute différente…
Charliiie lundi 08 juillet 2024 08:09:52