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Gbl, opiacés et autre

Par Luluberludu34

Bonjour, j’ai depuis maintenant quelques années une addiction à beaucoup de choses differentes tant que ça me permet de survivre, j’ai toujours jusqu’à maintenant réussis à éviter le manque mais ce n’est plus le cas avec le Gbl, j’aimerais en discuter avec des personnes qui le vive et en apprendre sur leurs expériences et éventuelles conseil, j’aimerais discuter Avec des personne qui le vive et comment procéder.
Je me sens en danger lorsque j’en prend pas, je suis suivie mais ne peu pas arrêter malgré le traitement.
Je suis sur le point de faire des diagnostics précis mais j’aimerais partager avec des personnes qui peuvent comprendre.
Du coup, en réponse à mon message, n’hésitez pas à me dire votre avis, ou à me partager des sites de discussion plus adapté.
Je vous remercie
Lucie m
Ps: je m’excuse pour l’orthographe

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3 réponses

ludivine2112 - 02/04/2024 à 09h56

Bonjour,

Je comprends et j’ai vécu ce que tu vis actuellement, j’ai pu m’en sortir avec beaucoup de vallium! Le gbl touche ta moelle épinière! Ça peut être dangereux de se sevrer sans être suivie

Moderateur - 02/04/2024 à 10h08

Bonjour,

@Ludivine2112, le GBL ne touche pas, à notre connaissance, la moelle épinière. En revanche le protoxyde d'azote si. Peut-être confondez-vous ces deux produits ?

Pour des informations sur le GBL/GHB (le GBL est un précurseur du GHB et se transforme en GHB dans le corps), vous pouvez consulter notre fiche dans le dico des drogues : https://www.drogues-info-service....-les-drogues/Le-dico-des-drogues/GHB

@Luluberludu34 : bonjour, vous semblez suivi pour plusieurs addictions. Qu'est-ce qui vous fait dire que c'est le GBL en particulier qui provoque votre manque ? Est-ce que votre prise en charge prend en compte cette drogue du point de vue des traitements ? Est-ce que vous arrivez à en parler avec les personnes qui vous suivent ?

Cordialement,

le modérateur.

Luluberludu34 - 02/04/2024 à 15h39

Pour vous répondre, récemment, pendant 3 semaine j'en ai pris tout les jours ou tout les deux jours pour tenter d'espacer (ces moment était remplacer par des prise de tramadol, 5 à 6 de 50 mg, ou, codéine, ou izalgie, parfois mélanger. la dernière fois que j'ai du coup essayer d'arrêter, j'ai senti des tremblements, des douleurs au ventre et une paranoïa extrême. Dès que j'en ai repris ça allait mieux.
Je suis suivie mais tout ça prend du temps, à l'association csapa, des rendez-vous sont parfois difficile à prendre avec le travail.
Mon besoin de diagnostique à été écouté, un traitement adapté m'a été prescrit pour l'arrêt du GBL pour éviter surtout le risque d'épilepsie, mais je ne peu pas le mélanger, pour l'instant mon environnement n'est pas propice à un sevrage, alors je ne prend pas le traitement pour l'instant.
L'on à conclu que la drogue n'est pas mon problème principale, que depuis très jeune je me fais ma propre médication, mais c'est quand même devenue un problème au final même si j'ai toujours essayer de ne pas vivre le manque.
Oui le contacte avec l'association est facile, juste je ressens que tout va trop lentement pour réussir à stopper ce cycle.
Nous avons hésité à aller dans une hôpital psychiatrique pour peut-être trouver des solution plus drastique.
Je ne m'en sens quand même pas capable, pour mon chien, mon travail etc.

Merci pour vos réponses.
Lucie

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